Etape 1 - Arrivée à Siem Reap - En route pour les temples d'Angkor
Mercredi 31 janvier 2018. Bye ! Bye ! Vietnam ! Ce midi, j'ai pris un taxi qui m'a transporté jusqu'à l'aéroport de Da Nang où l'on peut acheter encore quelques souvenirs du pays. Je ne m'en prive pas. Un avion de la compagnie Air Asia m'attend pour me transporter jusqu'à Siem Reap, au Cambodge. Car c'est bien là que se poursuit mon voyage : dans cette petite ville bouillonnante, capitale du tourisme cambodgien, aux portes de la perle d'Angkor.

Depuis là-haut, fait exceptionnel, je me risque à prendre une photo derrière le hublot de l'avion. Je ne le fais jamais. Aussi bien par superstition que par peur... Je peux bien l'avouer maintenant : prendre l'avion m'occasionne parfois une véritable peur panique. Mais ce coucher de soleil qui vient iriser l'horizon est trop sublime pour que je n'essaie pas de la capter à travers l'objectif de mon smartphone...

Une petite heure plus tard, le temps de faire tamponner mon passeport et d'obtenir un visa temporaire, de débarquer mes affaires à mon hôtel, et me voici jeté dans l'effervescence de Pub Street, le quartier touristique de Siem Reap***.

Ici, on se croirait dans un mini-bangkok avec ces nombreux restaurants, ces bars de nuits et ces dancings ouverts jusqu'à la fin de la nuit. Ce n'est pas encore la folie de Bangkok, mais ça y ressemble déjà fort. Des prostituées sillonnent les terrasses des bars à la recherche de clients. Mais à la différence de la capitale thaïlandaise, on trouve encore d'excellentes tables en plein milieu du quartier. Idéal pour bien dîner après cette journée éprouvante.

Allez zou, je prends une dernière photo du quartier et de ses lumières électriques, puis je m'en retourne à l'hôtel. Demain, de très bonne heure, une rude journée de découverte d'Angkor m'attend. Pour cela, j'ai loué les services d'un tuk-tuk à la journée, moyennant 25 $. Une bonne affaire pour moi comme pour mon chauffeur, je pense. Allez zou, au dodo !



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